Quatre infirmières expérimentées pour vous former avec AMIR Médecine Esthétique

Elles sont quatre infirmières diplômées d’État. Toutes les quatre pratiquent en cabinet de médecine esthétique depuis plusieurs années. Désormais,Mendye Andrieu, Sabrina Coursin, Mariam Koné et Natacha formeront les infirmiers auxquels s’adresse la formation AMIR Médecine Esthétique Infirmier. Elles nous expliquent leur parcours, leur expertise, leur choix de carrière, leurs satisfactions. Et pourquoi les médecins esthétiques ont de plus en plus besoin de la collaboration des infirmiers.

Vous êtes toutes les quatre infirmières diplômées d’État (IDE). Quel parcours vous a menées à exercer en médecine esthétique ?

Mendye Andrieu

Mendye Andrieu J’ai commencé ma carrière comme infirmière diplômée d’État au centre hospitalier de Calais, en 2006, en stérilisation. Avant cela, pendant mes études et l’internat, j’avais mis à profit week-ends et vacances pour travailler comme agent de service hospitalier et aide-soignante. J’ai ainsi appris toutes les facettes du métier d’infirmière en hôpital et j’ai acquis une bonne vision du travail d’équipe. Après quelques années en service d’urgence, où les conditions de travail des soignants sont très difficiles, j’ai décidé d’intégrer une association d’aide aux personnes âgées, à domicile. Puis je me suis installée comme infirmière libérale. Je le suis restée neuf ans, j’aimais la relation de proximité avec les patients. Pourtant, il me manquait une chose : la collaboration avec les médecins.

 

Comme j’étais référencée au cabinet du docteur Andrieu dont je vaccinais certains patients, je me suis intéressée à son activité médicale. En effet, en parallèle de la médecine générale, il pratiquait la médecine esthétique, son domaine d’expertise. J’ai trouvé ça passionnant ! Le docteur l’a perçu et m’a proposé de l’assister, en 2015. J’ai accepté ; il m’a formée et j’ai passé de plus en plus de temps à exercer dans son centre de médecine esthétique, que j’ai rejoint en salariat. Voilà bientôt dix ans que je suis infirmière en médecine esthétique et j’ai beaucoup développé mon savoir-faire. Par conséquent, je me suis vu confier la supervision et la formation en esthétique d’autres infirmières, puis la direction de la qualité de nos trois centres d’esthétique en France.

Sabrina, votre parcours présente-t-il des similitudes avec celui de Mendye ?

Sabrina Coursin

Sabrina Coursin : Oui, plusieurs ! J’ai débuté comme aide-soignante puis j’ai repris mes études pour devenir infirmière diplômée d’État en 2014. A ce titre, j’ai travaillé dans divers services hospitaliers à Saint-Malo et à Rennes, notamment en réanimation, cardiologie, soins intensifs. À chaque fois, j’appréciais en particulier les aspects techniques, la petite chirurgie des interventions médicales. Mais je déplorais de n’avoir plus le temps de m’occuper des patients, tant la charge de travail qui pèse sur les infirmiers, à l’hôpital, est lourde. Heureusement, mon mari, le docteur Benoit Coursin, qui faisait le même constat en tant que médecin urgentiste, a décidé de se lancer dans un projet captivant : se former à la médecine esthétique et s’y consacrer. C’est ainsi que je me suis intéressée à cette discipline en plein boom.

J’ai proposé à mon époux de me former avec lui. J’étais tellement motivée que le Collège international de médecine esthétique (le Cimes) a accepté que je suive à Paris le cursus réservé aux médecins, en tant qu’infirmière autorisée – une première ! Je pratique depuis 2018 comme infirmière en médecine esthétique à Saint-Grégoire, en Bretagne, dans le centre de médecine esthétique de mon époux et de ses deux associés médecins. Dès le départ, ils m’en ont aussi confié la gérance. J’y trouve ce que je cherchais : le contact avec le patient pour son bien-être et l’usage de la technologie, comme la physique des lasers.

Quant à vous Mariam, quelle a été votre approche ?

Mariam Koné

Mariam Koné : Comme Mendye et Sabrina, j’ai commencé en qualité d’infirmière diplômée d’État en région parisienne, en 2014. J’ai fait des vacations dans plusieurs services hospitaliers – une bonne manière d’apprendre toutes les dimensions du métier et de renforcer ma capacité d’adaptation. Cependant, là où mon parcours diffère, c’est dans la manière d’en venir à la médecine esthétique. En effet, à 18 ans déjà, j’avais l’esthétique en tête ; j’hésitais aussi à étudier l’infirmerie. Je me suis donc inscrite en BTS esthétique et j’ai préparé concomitamment le concours pour entrer en école d’infirmiers. Quand j’ai réussi ce concours, qui offre un cursus bac+3 plus diplômant, j’ai fait le choix de poursuivre dans cette voie.

Après l’hôpital, j’ai travaillé en maison de retraite. Or, les soins prodigués aux patients en fin de vie, basés sur le toucher, et l’objectif de leur apporter du bien-être, ont réveillé mon goût pour l’esthétique. J’ai décidé de me former ! Comme je ne trouvais pas en France d’équivalent au cursus anglais d’aesthetic nurse, je suis partie à Londres. Le Brexit a, hélas ! entravé mon projet professionnel mais, de retour à Paris, je n’y ai pas renoncé. Après une expérience de directrice-adjointe en crèche, j’ai décroché, en 2018, un poste en institut d’esthétique, où j’ai pratiqué plusieurs types de soins, dont l’épilation électrique définitive, puis dans un cabinet de médecine esthétique des Yvelines. En parallèle, pour me forger une double compétence d’esthéticienne et d’infirmière en médecine esthétique, j’ai obtenu le diplôme universitaire d’assistante en médecine esthétique (DUAME) de l’université Paris-Est Créteil et un certificat d’aptitude professionnelle (CAP) en esthétique. J’étais prête à ouvrir mon propre institut et je l’ai fait, il y a quatre ans 

Et vous Natacha, pouvez-vous nous parler de votre parcours ?

Natacha Ait Oudjoudi : En 2015, j’ai passé le concours d’aide-soignante puis d’infirmière, soit 4 années d’études qui m’ont conforté dans mon choix de réorientation professionnelle. J’ai démarré ma carrière d’infirmière au pôle urgences et réanimation du centre hospitalier de Sète. Un poste polyvalent qui me plaisait, mais l’alternance jour/nuit des gardes en 12 heures a eu des répercussions néfastes sur ma santé. Or pour bien prendre soin des autres il faut commencer par prendre soin de soi. J’ai donc quitté l’hôpital et j’ai choisi de devenir infirmière esthétique afin de continuer à prendre soin du bien-être des autres autrement. 

J’ai obtenu mon certificat de praticienne laseriste (épilation et peelings au laser) et de skinthérapeute puis me suis formée à l’épilation électrolyse et au bodycontouring que j’ai pratiqué au sein d’un centre de médecine esthétique de ma région. 

Avec une demande de soins qui explose, se former à la médecine esthétique en tant qu’infirmière ouvre un champ des possibles infini ! Depuis avril 2024, j’exerce auprès de 4 chirurgiens dont deux font de l’esthétique.

Quels sont les avantages de la formation Infirmier AMIR médecine esthétique ?

FORMATION COMPLÈTE

  • Connaitre les différentes techniques et procédures esthétiques
  • Comprendre les facteurs clés de la gestion d’un cabinet privé
  • Maitriser les technologies de l’information et de la communication

COURS PRATIQUES EN CLINIQUE

  • Des ateliers proposés en présentiel le week-end
  • Avec des professionnels expérimentés : ils pratiquent ce qu’ils enseignent
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FORMAT OPTIMISÉ

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Cyrille Roy