Juillet 2023. Le docteur Laure Brogniart est médecin généraliste dans la campagne bordelaise. Le docteur Taufa Vincent, lui, est interne au CHU de Poitiers. Ils ont entamé la formation diplômante en médecine esthétique, nutrition et anti-âge qu’AMIR Médecine Esthétique a lancée en France cette année. Quatre mois sur huit seulement se sont écoulés et… ils sont déjà impressionnés par le cursus théorique et pratique, sa qualité, son efficacité. Lisez pourquoi.
Dr Brogniart : Je suis installée comme médecin généraliste dans la région de Bordeaux. J’ai énormément travaillé depuis mon début de carrière il y a dix ans, en m’épuisant parfois. C’est à ce prix que je m’assure une situation matérielle satisfaisante. Or, je suis maintenant maman d’un petit garçon d’un an : il est temps de trouver un meilleur équilibre ! De plus, comme j’aime mon métier et me donne à fond, je voudrais être davantage reconnue pour mes compétences, ce que la médecine générale ne permet pas toujours.
Voilà l’état d’esprit dans lequel j’étais quand je suis tombée sur l’article du journal Le quotidien du médecin annonçant le lancement en France de la formation AMIR Médecine Esthétique. L’idée de me former à des gestes médicaux qui font du bien aux patients, de travailler à améliorer leur vie, m’a immédiatement attirée
Dr Brogniart : La présentation d’AMIR Médecine Esthétique axait clairement la formation sur une prise en charge globale, professionnalisée, du patient, au-delà des injections de botox, et sur l’accessibilité du métier pour les généralistes. Ensuite, c’est une formation diplômante, affiliée à une université sérieuse, l’université à distance de Madrid (l’UDIMA). Par ailleurs, j’aime apprendre et le programme pédagogique d’AMIR Médecine Esthétique, sur huit mois, est très complet. Enfin, aucune autre formation en France ne proposait un planning aussi compatible avec mon emploi du temps.
Dr Vincent : Mon cheminement est différent mais mes conclusions sont identiques à celles du docteur Brogniart. Je termine mon internat au CHU de Poitiers, en médecine générale. Cependant, j’effectue des remplacements en cabinet depuis deux ans et je suis ouvert à différentes pratiques. En particulier, je pense à la médecine esthétique depuis longtemps. Pourquoi ? Pour son intérêt technique – elle implique des manipulations manuelles –, les connaissances médicales poussées qu’elle exige et le confort matériel qu’elle procure puisque c’est une discipline en plein boom. En outre, les soins de médecine esthétique sont non invasifs, sans anesthésie… Ça me convient !
Or, je ne trouvais pas de formation conciliable avec mon activité. En début d’année, sur internet, j’ai découvert AMIR Médecine Esthétique. Cyrille Roy, le responsable des admissions, m’a bien renseigné. Quatre facteurs ont été clés dans ma décision de m’inscrire : la possibilité d’étudier la théorie en ligne ; les cours de pratique en petits groupes, avec conseils personnalisés de praticiens ; le contenu pédagogique, très complet, avec – et c’est rare ! – un module sur la gestion d’un cabinet ; le diplôme européen (60 ECTS) qui nous donnera de la crédibilité.
Dr Vincent : Beaucoup de choses, je suis pour l’instant vraiment satisfait. J’apprécie d’abord le tutorat qui nous permet de poser des questions pour vérifier que nous avons assimilé les cours. Également, les ateliers pratiques chaque mois le dimanche, dans une clinique très adaptée du XVIe arrondissement de Paris. Nous travaillons sur de vrais modèles, c’est fondamental pour la qualité des soins.
Par ailleurs, l’équipe pédagogique d’AMIR Médecine Esthétique est remarquable. Compétente, disponible, elle nous conseille sur les produits, le matériel, les techniques… Son responsable, le Dr. Fayard, est un grand pédagogue. Il nous a accompagnés pendant la dernière pratique et nous a même proposé de nous rendre à son cabinet. Nous sommes des apprenants écoutés et bien suivis.
Dr Brogniart : Je rejoins le docteur Vincent. Je suis agréablement surprise par la qualité du tutorat et des échanges avec l’équipe pédagogique. C’est bien plus interactif que les cours en ligne auxquels je m’attendais. Les formateurs nous transmettent leur savoir avec liberté. Nous, médecins, avons besoin d’un tel compagnonnage pour être rassurés.
J’apprécie aussi énormément la manière de présenter les cours : à l’oral en vidéo, écrits dans un livret puis résumés en Powerpoint. Et la qualité des enseignements : AMIR Médecine Esthétique part du principe que nous devons disposer d’un maximum d’infos pour être compétents. Rien n’est approximatif. Les intervenants passent en revue plein de notions avec intelligence, pour nous préparer à prendre en charge globalement le patient.
Dr Brogniart : Oui, les ateliers le dimanche en clinique sont très commodes, un vrai plus puisque j’exerce la semaine.
Docteur Vincent : C’est idéal effectivement. Et nous pouvons travailler les cours en ligne le soir.
Docteur Brogniart : Je voudrais exercer la médecine esthétique pour diversifier mon activité. Après seulement trois mois, la formation AMIR Médecine Esthétique me donne déjà confiance en moi. Je réfléchis : créer un deuxième cabinet ? Travailler pour un tiers ? Tout est possible. J’attends avec impatience le module sur la gestion d’un cabinet. Je sais que je pourrai compter sur le réseau AMIR Médecine Esthétique, jusqu’au bout.
Docteur Vincent : J’envisage également d’intégrer la médecine esthétique à mon quotidien. Quant au soutien de la communauté AMIR Médecine Esthétique, nous avons déjà créé des groupes de discussion entre apprenants. Je recommande sans hésiter AMIR Médecine Esthétique.
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