Mariam K. : Oui ! Le métier d’infirmier confère de l’autonomie, la faculté de collaborer avec les médecins et des compétences pour accueillir, rassurer les patients et leur dispenser des soins de qualité. Ce sont des aptitudes dont les médecins esthétiques ont besoin : ils cherchent à embaucher des infirmiers. Toutefois, pour exercer en médecine esthétique, l’infirmier devra aussi acquérir une connaissance approfondie des procédures du cabinet, apprendre à accompagner le médecin dans ses actes – injections, etc. –, à dispenser certains soins et à suivre le patient. La formation AMIR Médecine Esthétique vise à inculquer ce savoir-faire spécifique, d’une façon inédite et efficace : je la recommande vivement aux infirmiers intéressés à enrichir leur carrière !
Sabrina C. : Je rejoins l’analyse de Mariam et, pour la compléter, je peux décrire pourquoi nous recrutons des infirmières en esthétique, dans notre cabinet. Nous avons besoin de personnes capables, sous la supervision du médecin esthétique, de pratiquer le laser épilatoire. Cela signifie qu’elles participent à la consultation préalable avec le médecin pour identifier, notamment, s’il n’y a pas de contre-indications au traitement, puis elles pratiquent le geste en salle. Elles doivent donc connaître les protocoles et les respecter strictement. Par ailleurs, tous les soins de peau préparatoires aux prises en charge médicales incombent aux infirmières : elles doivent se familiariser au peeling, aux produits utilisés, acides de fruits, etc. et parfois même au microneedling.
Le médecin veut aussi s’appuyer sur des infirmiers pour les injections d’acide hyaluronique, les lasers vasculaires et les traitements de la silhouette – cryolipolyse, etc. Les infirmiers sont chargés de préparer la salle et les machines, d’installer le patient, tracer les repères éventuels sur sa peau, puis, après l’intervention, de le masser et le surveiller. Enfin, il est très important de savoir tenir le dossier des patients à jour, grâce aux transmissions d’informations sur les séances et les traitements administrés : cela, l’infirmier en a la compétence.
Mendye A. : Je confirme à mon tour que le médecin esthétique a besoin de s’entourer d’infirmiers formés à la discipline, pour les raisons que Mariam et Sabrina ont évoquées. J’ajoute que nous devons savoir répondre à toutes les questions du patient pour le rassurer, lui donner envie de réaliser son projet esthétique et, après traitement, le renseigner sur les effets secondaires possibles. Nous devons savoir optimiser le planning des interventions, travailler en équipe et interagir avec le médecin. Toutes ces compétences, la formation AMIR Médecine Esthétique permet de les acquérir rapidement, sur onze mois. Enfin, je souligne que le besoin d’infirmières en cabinet de médecine esthétique va croissant, car la demande d’actes est en pleine expansion.
Sabrina C. : C’est une activité très gratifiante ! En effet, notre intervention, aux côtés du médecin esthétique, améliore la vie des gens parce que nous les soulageons de caractéristiques physiques, de pathologies, qui les inhibaient. Je pense, par exemple, à l’hirsutisme chez la femme, à l’alopécie chez l’homme. Nous voyons des femmes et des hommes s’épanouir, devenir heureux, mieux aimer leur corps. Et pour y parvenir, nous les suivons souvent sur plusieurs semaines, ce qui apporte une deuxième satisfaction à l’infirmière en médecine esthétique : nous consacrons du temps à l’écoute des patients et tissons une relation de confiance avec eux. C’est un pan du métier qu’il est de plus en plus difficile de mettre en œuvre à l’hôpital.
Par ailleurs, nous devons garder la maîtrise des technologies utilisées en médecine esthétique. Comme elles sont en constante évolution, nous apprenons sans cesse. C’est très motivant ! Par exemple, je suis ravie que mon cabinet se lance prochainement dans les greffes capillaires : toute notre équipe s’y est préparée.
Enfin, il y a des satisfactions matérielles à exercer en cabinet de médecine esthétique. Nous voyons, d’une part, notre carrière évoluer très positivement : j’en suis la meilleure preuve puisque je suis devenue gérante de notre cabinet et formatrice. D’autre part, pour une rémunération de départ équivalente à celle gagnée à l’hôpital, les infirmières ne travaillent que quatre jours par semaine, dans des horaires raisonnables, et jamais le dimanche.
Mariam K. : Ma plus grande satisfaction est de contribuer au bien-être des patients, de les voir retrouver le sourire et gagner confiance en eux. Ils me disent attendre leur séance avec impatience, ils arrêtent de se cacher. De surcroit, tout en agissant dans l’intérêt de ceux qu’elle soigne, l’infirmière en médecine esthétique n’est plus confrontée à la douleur, voire à la mort, comme dans les soins classiques. On retrouve le sommeil, c’est précieux.
Mendye A. : Je suis tout à fait d’accord avec Mariam et Sabrina. Nous avons l’incroyable opportunité de travailler dans une branche de la médecine centrée sur le bien-être du patient, plutôt que de combattre la maladie, la douleur physique, la mort. Notre intervention métamorphose physiquement les personnes prises en charge et les libère psychologiquement. Nous avons donc beaucoup d’occasions de nous réjouir. Imaginez la satisfaction de s’entendre dire : « Vous avez changé ma vie » !
L’autre avantage majeur pour les infirmiers en cabinet de médecine esthétique, est la possibilité d’une évolution de carrière stimulante. Comme Sabrina, j’en suis la preuve : si la collaboration avec le médecin et ses collègues se passe bien, l’infirmière se verra confier de plus en plus d’actes. Elle acquerra des compétences qui lui permettront d’orienter sa vie professionnelle vers la formation, la qualité, la gestion d’équipes… Et elle bénéficiera d’une rémunération globale plus intéressante qu’en hôpital, si on prend en compte l’absence de garde, les horaires raisonnables, les primes…
Mariam K. : Quand AMIR Médecine Esthétique m’a sollicitée, je me suis dit : « Cette formation est inédite ! Si moi j’y avais eu accès, ça aurait considérablement facilité mon parcours ! ». C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai accepté d’être formatrice. La formation, proposée sur onze mois, s’adresse à tous les infirmiers diplômés, quelle que soit leur activité aujourd’hui. Son programme est très complet, alliant théorie et pratique. Elle sert la profession infirmière en lui ouvrant la possibilité de valoriser son savoir-faire en clinique ou en cabinet d’esthétique et d’accéder à de bonnes conditions de travail.
Si, grâce à ma polyvalence, je participe à cette évolution, j’en serai ravie. Je vais m’efforcer de transmettre aux apprenants mes connaissances de la gestion d’un cabinet d’esthétique, de la règlementation applicable, de l’utilisation des réseaux sociaux.
Mendye A. : Je m’engage auprès d’AMIR Médecine Esthétique parce que j’aime enseigner ce que je pratique et je veux contribuer à la professionnalisation de la médecine esthétique. Etant donné son développement, les médecins qui l’exercent doivent y être formés et ils doivent être accompagnés par des infirmiers tout aussi formés. C’est la philosophie d’AMIR Médecine Esthétique. Elle correspond à celle que nous portons avec le docteur Andrieu, celle qui nous a menés à créer trois centres de médecine esthétique en France. Dans chacun, quand nous le pouvons, nous formons des stagiaires en bac pro d’esthétique et des étudiants infirmiers de troisième année.
Je possède une longue expérience de formatrice puisque, en exercice libéral déjà, j’accompagnais des stagiaires infirmiers. Je suis fière de la mettre au service d’AMIR Médecine Esthétique, un programme de grande qualité, innovant et axé sur la pratique. Mon rôle consistera d’ailleurs à animer les ateliers en clinique une fois par mois, sur divers thèmes – la dermographie, la réparation des seins, les fils tenseurs, la nutrition, les injections, les lasers, etc. J’alimenterai aussi le contenu des cours et j’assurerai le tutorat des apprenants.
Sabrina C. : Je m’engage pour les mêmes raisons que Mariam et Mendye. D’abord, j’ai toujours aimé former. Dans ma structure, depuis le début, je forme infirmières et esthéticiennes aux gestes comme aux aspects administratifs de notre activité. Ensuite, mon époux, qui intervient déjà pour AMIR Médecine Esthétique, m’a témoigné de la pertinence de ses formations diplômantes. Elles contribuent à faire reconnaître en France une médecine esthétique de qualité, dispensée par des professionnels compétents, et à contrer les dérives.
Nous allons enseigner aux infirmiers ce qui leur permettra d’exercer immédiatement, au terme des onze mois de formation. J’interviendrai sur la théorie et la pratique, en particulier lors d’ateliers sur le laser, la greffe capillaire et la gestion du cabinet d’esthétique. Et nous allons les aider à se créer un réseau. Quel progrès pour la profession !
Mendye A. : Allez-y ! N’hésitez pas à donner cette orientation à votre carrière ! Inscrivez-vous à la formation AMIR Médecine Esthétique ! Vous apprendrez tout ce qu’il faut savoir pour exercer un beau métier. En cabinet de médecine esthétique, le savoir-faire des infirmiers a toute sa place : vous pratiquerez des gestes techniques, vous accompagnerez les patients, vous collaborerez étroitement avec les médecins.
Sabrina C. : Et ainsi, contrairement à une idée reçue, vous ne vous ennuierez pas ! Sans compter que la médecine esthétique ne cesse d’évoluer, elle est en pleine effervescence, beaucoup de cabinets s’ouvrent. Regardez comment la demande en greffe capillaire, en dé-tatouage, en électrolyse, augmente ! Vous devrez donc vous adapter régulièrement en vous formant et vous trouverez des débouchés. Dans ma structure, nous avons recruté quasiment un infirmier par an depuis que j’ai commencé en 2018 et il y a peu de turnover, les équipes sont satisfaites. Conclusion : osez !
Mariam K. : Oui, boostez votre développement professionnel en vous formant avec AMIR Médecine Esthétique ! Vous apprendrez l’exercice en centre d’esthétique dans les règles de l’art. De plus, vous pourrez exercer en Europe grâce à votre diplôme, non seulement en cabinet, mais en laboratoire, chez des fabricants d’équipements médicaux… Le métier d’infirmier peut se vivre de différentes façons. Et, pour conclure, je m’adresse aux médecins esthétiques : faites confiance à AMIR Médecine Esthétique pour former vos infirmières. C’est un investissement qui vous permettra d’augmenter l’activité de votre cabinet.